Lorsque Andres Enrique a été diagnostiqué avec un diabète de type 1, nous avons entrepris d'apprendre tout ce qu'il y avait à savoir sur cette maladie. Malheureusement, nous avons dû obtenir la plupart de nos informations à l'extérieur du Nicaragua. Nous voulons rendre le Nicaragua plus visible afin que les familles reçoivent une éducation actualisée sur le diabète de type 1.
Nous organisons actuellement le premier camp pour les enfants et les adolescents vivant avec le diabète de type 1 au Nicaragua et avons mis en place le premier groupe de soutien aux parents sur Whatsapp dans le pays. Nous sommes convaincus que la promotion des échanges entre les personnes atteintes de diabète de type 1, leurs soignants, les communautés et les réseaux mondiaux apporte une force psychologique et émotionnelle. C'est quelque chose d'intangible, mais qui génère un grand impact sur l'adhésion au traitement.
L'accès gratuit à l'insuline analogique, aux lecteurs de glycémie, aux bandelettes réactives et au glucagon devrait être un droit de l'homme, afin de réduire les complications et d'améliorer la qualité de vie des personnes atteintes de diabète de type 1.
Comme l'a écrit le Dr Elliott Joslin, "l'éducation au diabète n'est pas une partie du traitement, c'est le traitement". Je veux m'inspirer du réseau Blue Circle Voices de la FID pour apporter des changements positifs au Nicaragua.
"Lorsqu'on a diagnostiqué un diabète de type 1 chez Andres Enrique, nous avons décidé d'apprendre tout ce qu'il y avait à savoir sur cette maladie. Malheureusement, nous avons dû obtenir la plupart de nos informations à l'extérieur du Nicaragua. Nous voulons rendre le Nicaragua plus visible afin que les familles reçoivent une éducation actualisée sur le diabète de type 1."
